J’ai enfin terminé ma formation en ligne « Révolution gouache » !

Voici donc mes derniers exercices, qui correspondent aux deux derniers modules (sur 5 au total).

Sur papier blanc ou coloré, en format A5 ou A4, réussi ou à améliorer, mais tout à la gouache !

Maintenant, y’a plus qu’à…

Qu’est ce que c’est… ? « L’idée consiste à travailler le geste calligraphique, le contraste et la composition, sans stress, sans trop de technique, pour faire comme si nous étions presque-un-peu calligraphes. »
C’est la définition donnée par Ludivine Alligier, « inventrice » de la ludigraphie, avec laquelle j’ai suivi un mini-stage d’1 jour et demi à Lyon.

Le matériel, c’est essentiellement du papier et des stylos à encre bizarres, les Parallel pen (de chez Pilot) :

C’était bien sympa et ça m’a permis de découvrir quelque chose qui m’intéressait depuis longtemps mais, toute seule, je n’aurai probablement pas trop su par où commencer ni comment. C’est aussi à ça que servent les stages…

Ludivine nous a proposé de relier simplement notre travail à la fin du stage (y compris les recherches, les brouillons, les trucs pas terribles… en recyclant au maximum tout ce qui était possible) pour garder un « objet-souvenir » de tout ce qu’on avait fait. Et ma foi, l’idée était bien bonne !

Rien de tel que des images pour mieux comprendre de quoi il s’agit vraiment :

Je ne sais pas de quelle pomme ni de quel pin il s’agit… Pas grave, j’ai pris plaisir à la peindre, et en plus, je suis contente du résultat !

Comme d’habitude, c’est mon ami Vincent Jeannerot qui m’a déniché ce sujet. Big up <3

Sur papier aquarelle Arches grain satiné, format 26×36 cm , aquarelles en tube Winsor & Newton et Schmincke, pinceaux Raphaël série 8404.

Voici un rapide aperçu de mes premiers exercices et « travaux pratiques » réalisés pendant la formation que je suis actuellement : « Révolution gouache » dispensée par Cindy Barillet.

Suite à venir bientôt.

Gouaches peintes sur des formats A4 (à gauche) et A5 (à droite), avec des gouaches Linel extra-fines et des pinceaux Léonard Azur.

Cliquez sur les images pour les agrandir.

Une préférence ?

Réalisés grâce aux explications de cette démo de l’artiste Blanche.

Dernière aquarelle botanique en date, chez Vincent Jeannerot bien sûr !

Format 20×20 cm.

Si, comme moi avant, vous pensez que le céleri rave n’est pas très intéressant et juste bon à mettre dans la soupe… et bien vous vous trompez !

C’est en observant attentivement ce légume pour pouvoir le peindre que je me suis rendue compte qu’il n’était pas si grossier qu’il en avait l’air : délicates nuances de vert qui réveillent le beige pas du tout uniforme du bulbe; cicatrices en trous et en bosses; racines serpentiformes, fines ou plus grossières, mais bien ancrées et plaquées à la base du légume; forêt de tiges d’un joli vert à la cime…

Bref, c’était bien sympa à peindre mais pas si évident que ça. Comme d’habitude en fait… on croit toujours naïvement qu’un légume ou un fruit rond (ou long d’ailleurs…), ça va aller vite et ce sera facile… que nenni !

Vous regarderez désormais le céleri-rave de votre panier de légumes d’un autre œil, j’en suis sûre… 😉

Aux Ateliers de la Rue Raisin, avec Ulric Stahl. Pauses de 10 mn. Papier format raisin, sanguines et mine de plomb.

J’ai eu du mal à « rentrer » dans la séance et la modèle bougeait pas mal… donc beaucoup d’erreurs de proportions et de traits mal placés. Très fatiguée à la fin…

Y’a des jours comme ça !

Dernière aquarelle en date. La petite originalité, c’est que le fruit a été coupé en deux dans le sens de la hauteur, et ça, c’est une bonne idée de mon ami Vincent Jeannerot !

J’avais déjà peint ce légume il y a quelques années, mais non coupé, avec la fleur et sans feuille (cliquez ici pour vous en souvenir). Bref, plus grand chose à voir !

Papier satiné Arches 31×41 cm, aquarelles en tube Winsor & Newton et Schmincke, pinceaux Raphaël série 8404.

Dernière séance de modèle vivant de l’année scolaire, avec un prof que je n’avais jusque là jamais eu, et un modèle que je n’avais jamais croisé non plus ! Que de nouveautés… 😉
Du coup, changement de technique, conseils différents, durées de poses plus longues… Les poses « rapides » du début pour s’échauffer m’ont été bien utiles pour me familiariser avec les courbes et proportions du modèle, d’où la différence entre les premiers dessins au crayon et les suivants à la sanguine, plus « justes ».
Bref, une chouette séance, intéressante et constructive avant les vacances !

Comme d’habitude, toutes mes excuses pour la mauvaise qualité des photos… je fais comme je peux avec mes moyens technique limités ! Et comme d’habitude vous pouvez, en théorie, voir les dessins en plus grand en cliquant dessus.