Il y a plus d’un an, je vous avais montré un carnet d’inspiration et d’idées que j’alimente irrégulièrement.
Je viens de le terminer, alors voici la suite et la fin, à partir de là où on s’était arrêté !
Pour (re)voir la 1ère partie, cliquez ici.
Quand il fait très chaud, l’aquarelle, ce n’est pas le plus simple à travailler, ça sèche trop vite !
Alors j’ai sorti mes feutres pour m’amuser un peu…
Les espèces sont, normalement, faciles à reconnaître, même pour des non-spécialistes !
D’après des photos de R. Diez, J. Vial et moi-même.
Au hasard des mes découvertes sur internet, je suis tombée sur cette vidéo (cliquez ici), expliquant comment réaliser facilement et efficacement des silhouettes à l’aquarelle. Alors j’ai voulu essayer.
Technique facile, rapide et plutôt efficace, que j’imagine bien être utile pour égayer des carnets de voyage et rendre certaines scènes plus vivantes par exemple…
Sur format 21×15 cm, papier publicitaire pour aquarelle « Magnani 1404 – Toscana 300 g/m2″, 100% coton, grain torchon; pigments en godet Winsor & Newton et Schmincke; pinceaux Gerstaecker « I Love Art » n°12 et Raphaël Kolinsky 8404 n°2/0.
Amis naturalistes, n’hésitez pas à me faire des critiques (constructives quand-même… 😉 ) !
Les grands magasins de matériel de beaux arts m’envoient de temps en temps des pochettes d’échantillons de papier en format A5, gratuitement, sans que je ne demande rien (notamment lorsqu’une nouvelle gamme sort dans le commerce).
Comme on me les donne, je les garde ! Mais comme je n’ai pas l’intention de changer de mon papier habituel, ou d’en acheter de nouveaux sans objectif précis, je me sers de ces cadeaux comme si c’était des « brouillons ».
Je peins des petits trucs dessus, des essais, des recherches… Comme sur ces deux papiers par exemple.
Je n’aime pas jeter, surtout quand ça peut encore servir… Ni les petites chutes de papier, ni mes papiers de tests de couleurs, ni les pigments qui restent dans mes palettes. Et j’ai beaucoup de fonds de palettes (aquarelle, gouache, encre).
Alors je fais des essais, des bouts de trucs, des bidouilles, et j’en fais des machins que je découperai peut-être en « je ne sais pas quoi, on verra bien le moment venu ».
Voilà quelques exemples récents, où ces fonds de palette se sont transformés en cartes de correspondance, cartes de Noël, ou papiers à découper selon l’inspiration, l’envie du moment ou une opportunité (comme pour le courrier envoyé à Jean-Charles Boilevin récemment). Découpage, collage (sur papier de récup’ bien sûr !), et j’y écrit ensuite parfois quelque chose le plus joliment possible, en doré ou en blanc, mais pas toujours, ça dépend.
NB : normalement, sur ordinateur, vous devez pouvoir cliquer sur les images pour les agrandir. Normalement…
Voici la dernière utilisation en date de plusieurs palettes d’aquarelle, en 3 étapes : d’abord des ronds au verso d’un bout de papier de tests de couleurs, puis de la déco avec du feutre noir et des poscas blanc et gris, puis de la découpe, de l’emporte-piéçage et du collage toujours sur des papiers de récup’. Et hop des cartes de correspondance petits formats et qu’on ouvre en deux, pour je ne sais pas qui encore…
