Si, comme moi avant, vous pensez que le céleri rave n’est pas très intéressant et juste bon à mettre dans la soupe… et bien vous vous trompez !
C’est en observant attentivement ce légume pour pouvoir le peindre que je me suis rendue compte qu’il n’était pas si grossier qu’il en avait l’air : délicates nuances de vert qui réveillent le beige pas du tout uniforme du bulbe; cicatrices en trous et en bosses; racines serpentiformes, fines ou plus grossières, mais bien ancrées et plaquées à la base du légume; forêt de tiges d’un joli vert à la cime…
Bref, c’était bien sympa à peindre mais pas si évident que ça. Comme d’habitude en fait… on croit toujours naïvement qu’un légume ou un fruit rond (ou long d’ailleurs…), ça va aller vite et ce sera facile… que nenni !
Vous regarderez désormais le céleri-rave de votre panier de légumes d’un autre œil, j’en suis sûre… 😉
