Gerberas
25 mars 2011 à 18:50Galère galère le gerbera… Je m’étais déjà cassé les dents dessus l’année dernière. J’ai voulu retenter le coup, et ça ne me satisfait toujours pas. Je n’arrive pas à rendre le velouté et la transparence des pétales et des tiges comme je le voudrais. Je réessaierai…
Le nom de cette fleur de la famille des marguerites tient son nom du naturaliste et médecin allemand Traugott Gerber. Découverte au XVIIIème siècle dans l’hémisphère sud, elle représente d’un point de vue commercial le cinquième groupe de fleurs coupées au monde après les roses, les œillets, les chrysanthèmes et les tulipes. On cultive même maintenant des « germinis » ou mini-gerberas…
Certaines espèces de gerberas contiendrait de la coumarine. Cette substance naturelle isolée en 1820 tire son nom de l’arbre Dipterix odorata (kumaru en amérindien ou Gaïac de Cayenne ou teck) qui pousse en Amérique du Sud et qui donne les fèves de Tonka, bien connues des parfumeurs et de certains cuisiniers.
25 mars 2011 à 23:16
J’aime beaucoup, (comme d’hab !), surtout les deux fleurs vues de dessous; c’est vrai que dans la fleur ouverte , en cherchant bien, on peut se dire que ce serait encore plus proche de la réalité avec un peu plus de transparence; mais c’est déjà si beau! bravo!
26 mars 2011 à 09:46
Merci. C’est rigolo, moi c’est la fleur ouverte que je préfère ! Comme quoi, les goûts et les couleurs…
29 mars 2011 à 15:56
Si je savais dessiner le 100 eme de ce que tu fais …plus nul que moi en dessin, ça n’existe pas !!
…je peux essayer de commencer par la tige, non ?
29 mars 2011 à 16:27
Merci !
Si ça peut te rassurer, je n’ai jamais été très douée en dessin, et je ne suis toujours pas « bonne en dessin ». J’ai été moi-même étonnée de ce qu’on peut arriver à faire avec un bon prof et un minimum de patience, de persévérance et de travail. Une des clés du dessin, c’est l’observation… J’ai encore beaucoup de chemin à parcourir mais j’avance !