Cyclamens blancs
15 janvier 2017 à 23:42Enfin… ! Voilà les cyclamens blancs terminés.
Le résultat ne correspond pas exactement à celui auquel je voulais arriver au départ. On est plus dans une aquarelle « ambiance ancienne » que dans une aquarelle botanique du même type que ce que je vous présente habituellement (plus épurée, plus lumineuse). C’est la façon dont j’ai réalisé les ombres qui donne cette ambiance particulière. Les fleurs blanches sont une difficulté que je ne maitrise pas encore tout à fait comme je le voudrais !
Et vous, qu’en pensez-vous ? (Cliquez sur les images pour les voir normalement en plus grand)
Sur papier Arches satiné, 31×41 cm, aquarelles Schmincke et Winsor & Newton en tubes, pinceaux Raphaël série 8404.
16 janvier 2017 à 00:21
Magnifique! Pas d’autre qualificatif qui me vienne à l’esprit. J’adore.
Sur ta photo de décembre on avait l’impression que ton papier n’était pas blanc, mais ici on voit toute la difficulté de peindre des fleurs blanches sur un fond blanc; et je trouve que tu t’en es très bien sortie; félicitations, vraiment!
16 janvier 2017 à 03:29
J’aime beaucoup.
Bisou
16 janvier 2017 à 03:58
C’est magnifique! Et en plus j’adore cette fleur.
17 janvier 2017 à 01:19
Salut Claire, bravo tu as fais du blanc plus que blanc pour les pétales. Une question as-tu « ombré » le pied et les cornes hautes de l’aquarelle? Si oui toute la magie, ou presque, du blanc plus que blanc est là. Tu as bien passé cette difficulté encore bravo, magnifique.
20 janvier 2017 à 21:02
@ Nicole : En décembre, les ombres étaient beaucoup moins travaillées, moins foncées et les fleurs ressortaient donc moins. Et il faut aussi se méfier de l’image : je prends souvent une photo car mon scanner n’est pas du bon format. Mais selon l’heure et l’emplacement auxquels je prend ma photo, il peut y avoir des différences notables sur la luminosité de l’aquarelle telle qu’elle apparait sur votre écran.
@ Julienne : merci !
@ Michèle P : alors… je n’aurais pas pu faire mieux 😉
@ Totoff : j’ai effectivement commencé à ombrer le côté gauche des tiges, mais aussi des feuilles et des fleurs, la lumière venant de la droite. Quand je me suis dit que je ne savais pas trop où j’allais réellement (notamment parce que je n’avais pas les vraies ombres comme modèle), j’ai changé de tactique. J’ai ombré tout le tour des fleurs et arrêté d’ombrer le reste. D’où cette espèce d’auréole tout autour des fleurs. Vincent m’a conseillé, pour une prochaine fois, de rester sur ma première idée et dans le même temps, d’aller plus loin dans le travail des pétales blancs mais seulement côté droit (côté lumière). Ainsi, les fleurs seraient très bien ressorties sur le papier : d’un côté par les ombres et de l’autre par le travail « intérieur ».