Ail…
15 février 2015 à 10:25Après l’oignon rouge… la tête d’ail ! 😉
Environ 6h de travail, format 20×20 cm, papier Arches aquarelle grain satiné 300g/m², pigments Winsor et Newton/Old Holland et Schmincke en tubes, pinceaux Raphaël série 8404.
Après l’oignon rouge… la tête d’ail ! 😉
Environ 6h de travail, format 20×20 cm, papier Arches aquarelle grain satiné 300g/m², pigments Winsor et Newton/Old Holland et Schmincke en tubes, pinceaux Raphaël série 8404.
15 février 2015 à 10:42
Extraordinaire, époustouflant, stupéfiant !
Chapeau l’Artiste !!!
Bisous,
Maîmaître.
15 février 2015 à 19:15
Bonjour Claire,
Superbe, très réussie ta tête d’ail. Aussi vrai que celle stockée au frais dans mon garage ! Bises. Alain.
15 février 2015 à 19:59
Superbe! Quel réalisme! Bravo!
17 février 2015 à 13:34
C’est vraiment réussi, on a envie de l’attraper. Je ne vois aucune différence entre cet ail et celui d’une photo.
Je crois que tu est en train de commencer une collection pour un beau livre de cuisine.
17 février 2015 à 16:35
parfait .Lili
19 février 2015 à 20:07
@ Maimaitre : y’a peut-être des gènes… !
@ Alain Kim : il ne me manque plus que l’échalote, que tu as peut-être aussi dans ton garage…
@ Nicole : bien contente que ça te plaise.
@ Yann : pourquoi pas… ça pourrait être sympa. Dans 15 ans… 8-(
@ Lili : merci, j’apprécie ta visite !
20 février 2015 à 14:29
6 heures de travail ben dis donc, c’est le fignolage qui prend tant de temps ? Ou le séchage entre chaque couche ?
En tout cas il est magnifique et si proche de la réalité, j’aime
21 février 2015 à 19:25
@ Evelyne : il y a déjà le dessin qui prend du temps : un bon dessin est primordial et facilite l’aquarelle par la suite. Par expérience, ça vaut vraiment le coup d’y passer du temps, même si ce n’est pas toujours le plus sympa.
Ensuite, il y a la préparation de ses couleurs qui peut prendre un peu de temps. Trouver le bon mélange de pigments est une étape intéressante et qui permet de ne pas être déçu à la fin !
Ensuite, il y a effectivement le temps entre 2 passages (couches si tu veux, mais ce n’est pas très joli 😉 ) qui peut être long, surtout quand on a un petit sujet comme celui-là : on ne peut pas travailler sur une autre partie de la plante en attendant, on est obligé d’attendre que l’ensemble de la surface soit humidifiée comme on le veut pour pouvoir continuer.
Et surtout, c’est la technique en elle-même qui prend du temps : cette technique demande un nombre de passages assez élevé, à la fois pour obtenir le réalisme et aussi pour garder la transparence de l’aquarelle.
Je suis d’accord que 6h, ça parait long, mais ça passe très vite quand on est concentré sur son sujet !