Archive de février 2017
En direct du jardin
dimanche 19 février 2017Un joli carnet en soldes à 3 € et me voilà lancée dans un « carnet de jardin ». Un peu pour dessiner ce qu’il y a dans mon jardin au fil des saisons, mais surtout pour m’obliger à dessiner régulièrement, sur le vif, seulement au crayon (ou au feutre fin peut-être) et sans gomme. Comme ça, je dois prendre le temps de bien observer, ne pas me précipiter (comme je le fais souvent pour des croquis sur le vif ), réfléchir à ce que je fais. Ici, j’ai ajouté un peu de couleurs aux crayons, mais le papier est très fin et ne supporte en fait pas grand chose d’autre que du crayon ou du feutre fin.
Format pas tout à fait A5, critérium tout simple.
Un petit tour au Mexique
dimanche 12 février 2017En attendant de pouvoir vous montrer le carnet de voyage du Mexique en cours de finition, ceux que ça intéresse peuvent aller voir une sélection de mes photos en cliquant ici, ainsi que 2 petites vidéos (empruntées au web) qui montrent à quoi ressemblent les plongées en cénotes, une des particularités de la plongée au Mexique :
– Cénote The Pit et son nuage de sulfures
– Cénote Dreamgate et ses milliers de stalactites et stalagmites
Gypaète barbu (Gypaetus barbatus)
dimanche 5 février 2017Une petite enveloppe réalisée aux crayons de couleurs récemment pour un ami : le majestueux et rare Gypaète barbu. Bêtement, j’ai oublié que j’avais un timbre parfait pour l’occasion, qui m’aurait permis de continuer ma série des « yeux d’animaux » (comme la tarente, le requin, le toucan ou la grenouille : cliquez ici si vous avez oublié). Je serai donc obligé de refaire une autre enveloppe !
Le Gypaète barbu (Gypaetus barbatus) est ce magnifique rapace (donc protégé) que l’on appelle aussi « Casseur d’os » parce qu’il… casse les os (pour faciliter leur ingestion) ! C’est facile la biologie… . Il fait partie de ces oiseaux colorés pour lesquels on se dit, quand on les voit en photo, qu’ils sont super beaux et on se demande bien dans quel pays ils habitent. Et ben en France, si, si !
Il s’agit d’une des 4 espèces de vautours que l’on peut observer en France. C’est un « gros bébé » puisqu’il pèse entre 5 et 7 kg et peut atteindre une envergure de 2,90 m. Quand-même ! A l’origine, son plumage est blanc au- niveau du ventre et de la tête, mais des bains réguliers de boues et d’eau ferrugineuse le font devenir peu à peu orangé. Plus cette couleur est intense, plus l’oiseau serait territorial et installé dans un secteur favorable à l’espèce.
Le Gypaète peut vivre une trentaine d’années mais, « malheureusement », il ne peut se reproduire qu’à l’âge de 7 ans et chaque couple ne donne naissance, dans le meilleur des cas, qu’à 1 à 2 petits par an. Ce qui en fait, entre autres choses, la fragilité et la rareté de cet oiseau… (une 50aine de couples dans les massifs montagneux français).
Source et compléments d’informations : http://rapaces.lpo.fr/gypaete-barbu/presentation
PS : pour la devinette botanique de l’article précédent, il s’agissait bien d’un fruit de Lotus (Plus d’explications dans les commentaires de l’article concerné).